Raphaël MILLIES-LACROIX
Raphaël MILLIES-LACROIX 4-12-1850 / 12-10-1941
Ces circuits ont été inspirés par la brochure écrite par Raphaël MILLIES-LACROIX en 1933 intitulée "la petite histoire de Dax"
Ces circuits dans les rues de Dax se sont aussi largement enrichis à la lecture de l'excellent livre d'Hubert Delpont "Dax et les Milliès-Lacrois, l'aventure Thermale" chez les éditons d'Albret. Hubert Delpont est non seulement un historien mais aussi un conteur et son livre est captivant. Il vous servira de guide pour votre visite des rues de Dax où R. Milliès-Lacroix a mené son action de maire avec le conseil municipal de l'époque. Un index à la fin du livre vous permet de trouver les informations selon le site où vous vous arrêtez.
Ces circuits bénéficient aussi de mes observations lors de mes visites à pied dans Dax. N'oubliez pas de prendre un plan de Dax à l'Office du tourisme pour vous y retrouver dans les rues visitées.
PLAN DES DEUX CIRCUITS "RAPHAÊL MILLIES-LACROIX"
cliquer sur la carte pour l'agrandir
SOMMAIRE
CIRCUIT 1
1 - Départ au bord de l'Adour, côté parc Théodore DENIS OU PARC DES ARÊNES AUTREFOIS PARC DE LA PLANTATION
2 - PREMIERE CEINTURE PERI-URBAINE DE LA VILLE à partir du boulevard Saint Pierre
3 - cours Pasteur : CRÉATION DE L'ECOLE CARNOT
4 - rue Sully : CREATION DE L'ECOLE SULLY
5 - place de la cathédrale : INAUGURATION DE LA STATUE DE BORDA
6 - place de la cathédrale : RESTAURATION DE LA CATHEDRALE
7 - cours Galliéni : CRÉATION DE L'ECOLE GALLIENI
8 - cours Foch : CONSTRUCTION DU CASINO ET DE DAX SALINS THERMAL
9 - allée des Baignots et du Bois de boulogne : CREATION DU BOIS DE BOULOGNE
fin du parcours n° 1
CIRCUIT 2
départ de l'allée du carrefour allée des Baignots/boulevard Carnot
10 - SECONDE CEINTURE PERI-URBAINE DE LA VILLE
11 - place Saint Vincent : EGLISE SAINT VINCENT
12 - avenue Paul Doumer : CREATION DE L'ECOLE PRIMAIRE SUPÉRIEURE (E.P.S.) futur lycée de Borda
fin du parcours par les rues évoquant des figures renommées de la ville de Dax :
- avenue Francis Planté et boulevard Claude Lorrin
retour au centre ville par l'avenue Georges Clémenceau.
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A la lecture de ce parcours et du livre d'Hubert Delpont, on voit combien Raphaël Milliès-Lacroix, avec son expérience d'homme de terrain et de négociant, a développé la ville dans plusieurs orientations :
- l'instruction et l'éducation laïque en créant plusieurs écoles
- le développement de l'activité thermale et du tourisme
- le soutien de l'esprit de la fête, et en particulier la tauromachie, comme lien entre les citoyens
- la restauration de monuments religieux importants de la ville : la cathédrale et l'eglise Saint Vincent de Xaintes. alors qu'il était anticlérical et qu'il était pour la séparation de l'Eglise et de l'Etat
Ce qui prouve que son style était "laborieux, impartial et juste" (H.Delpont- Dax et les Milliès-Lacroix" p.55)
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CIRCUIT 1
1 - Départ du bord de l'Adour, côté du Parc Théodore Denis ou parc des Arênes autrefois appelé "parc de la plantation" avec ses grands arbres et les derniers remparts.
Comme l'explique H. Delpont dans son livre (pages 113 -114) ".. La mue de la plantation en ce qui est aujourd'hui Ie Parc Théodore Denis reste comme l'un des plus grands succès de Raphaël. L'idée paraît pour la première fois en novembre 1888 sous la plume d'un rédacteur anonyme qui, imaginant «Dax ville d'eau et station hivernale», rêve de transformer la vaste plaine inondable en amont de la ville entre ses remparts et la rivière, en une longue promenade gazonnée et fleurie. Mais pour y parvenir, il faut l'exhausser de plusieurs mêtres. En 1891, Ie projet vient en discussion a l'occasion du choix de l'emplacement des futures arênes. Le 1er avril 1893, Ie conseil municipal décide que les arênes seront construites à la Plantation, malgre Ie surcout lié à sa surélévation. Mais où trouver les matériaux nécessaires ? Ceux résultant de la démolition du chateau ayant à peine -permis de combler les fossés, certains verraient bien que les 40 000 m3 des derniers remparts servent à l'exhaussement. Mais ils sont classés et on ne peut y toucher. Le maire a son idée. Au cours de la visite de Sadi Carnot en 1891, certains s'étonnent que son premier désiderata envers Ie président de la République soit l'amélioration de la navigation sur l'Adour. Quel rapport avec la Plantation ? Deux ans plus tard, en décembre 1893, il publie un projet d'exhaussemene dans lequel il prévoit d'utiliser 150 000 m3 de sables dragués dans l' Adour pour porter la Plantation à 5,80m au-dessus de l'étiage, Ie dragage de la rivière permettant ainsi de faire d'une pierre deux coups: améliorer la navigation tout en faisant naître Ie parc municipal. Cerise sur Ie gateau, en 1896, Raphaël obtient de I'Etat, à titre tout-à-fait exceptionnel, que ce dernier s'engage à fournir en deux ans une subvention en nature de 110 000 m3 de sables. Limitee à l'abattage des arbres et à la dérivation de I'Estey, la participation de la ville est dérisoire. Le parc est un véritable cadeau de I'Etat. En juin 1899, les terrassements du chantier de la Plantation commencent. Une voie Decauville (chemin de fer à voie étroite) destinée au transport des sables sillonne les 5 hectares entre l' Adour, les remparts et l'ancien lit de I'Estey. On procède même à l'exhaussement du terrain des futures arênes, qui se trouve à cheval sur l'ancien lit. La création de ce parc sera la demière réalisation de Raphaël Milliès-Lacroix.
En passant dans le parc Théodore Denis aujourd'hui, on ne peut manquer de se souvenir de tout le travail qu'il a fallu réaliser pour faire de cet espace insalubre et inondable, un parc de détente et de repos. La parc TH. Denis a été nommé ainsi en 1961. Il porte le nom de celui qui, fils de pharmacien, licencié en droit à Bordeaux en 1881 devint avocat et bâtonnier de l'ordre des avocats de Dax, puis maire de Dax de 1902 à 1908. Il était républicain, ami de jeunesse, soutien puis concurrent politique mais toujours ami de Raphaël Milliès-Lacroix au gré de ce qu'Hubert Delpont appelle 'les joutes communales" et les jeux politiques très animés dans ces époques où l'on n'hésitait pas à se battre en duel quelquefois même pour un mot malheureux mais toujours pour "sauver son honneur" !
2 - PREMIERE CEINTURE PERI-URBAINE de la ville à partir du boulevard Saint Pierre
Cette première ceinture entoure ce qui aujourd'hui est le centre (coeur) de la ville de Dax sur le tracé de la plus grande partie des anciens remparts. Elle commence au boulevard Saint Pierre et se termine au balcon de l'Adour en passant par le cours Galliéni.
Boulevard Saint Pierre nommé en 1935. C'était avant 1935, le cours Albert 1°. Il longe l'ancien tracé des remparts depuis le rond point Paul Lasaosa et des sports, près du parc Théodore Denis et des arènes jusqu'à la place des Salines et la place Saint Pierre (autrefois place Wilson). La place Saint Pierre est ainsi nommée en souvenir de la paroisse dont l'église primitive (Saint Pierre de Vic au V° siècle) et le cimetière occupaient l'emplacement de la place. Elle fut détruite par le comte de Foix en 1296. (Dax au fil des rues - centre généalogique des Landes)
. Au début du boulevard, on peut voir les Bains Saint Pierre, un excellent centre de soins pour les rhumatismes, la phlébologie et la fibromyalgie. voir la page "quartier centre ville - les bains saint pierre, autrefois, aujourd'hui"
sur la place Saint Pierre, tourner à droite en longeant l'espace vert de la place des Salines, passer à droite devant les remparts. Vous arrivez à l'école Carnot
3 - CREATION DE L'ECOLE CARNOT
L'école Carnot aujourd'hui L'école Carnot autrefois dans le bâtiment des religieux de la
congrégation des Barnabites
L'école Carnot est aujourd'hui fermée. C'est ce que dit l'ardoise devant la porte d'entrée où le professeur et les élèves ont été dessinés en trompe-l'oeil. La police municipale a pris le relais des élèves d'autrefois.
Revenir sur la place Saint Pierre, passer devant les Thermes Bérot et entrer dans la rue Louis Barthou où se trouve l'école Sully au n° 2
4 - CREATION DE L'ECOLE SULLY . Comment cela s'est-il fait ?
présentation en cours de construction
Prendre ensuite le cours JOFFRE
- le cours joffre (anciennement Cassourat "plantation de Chênes" était au XIX° siècle un faubourg de la ville.
qui est le maréchal Joffre ? Joseph Jacques Césaire Joffre, né le 12 janvier 1852 à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales) et mort le 3 janvier 1931 à Paris, était un officier général français pendant la Première Guerre mondiale, artisan de la victoire alliée lors de la bataille de la Marne et de la stabilisation du front nord au début de la guerre. Il a été nommé maréchal de France en 1916.
C'est aussi un des responsables militaires les plus controversés du xxe siècle, notamment en raison de l'emploi de la stratégie militaire de l'«offensive à outrance», extrêmement coûteuse en vies humaines pour des résultats relativement médiocres sur le terrain, notamment lors de labataille des frontières et de la bataille de la Marne. En 1916, il est alors remplacé par le général Nivelle. En 1918, il est élu à l'Académie française. (Wikipedia)
Aller ensuite sur la place de la cathédrale
5 - Vous devriez y trouver LA STATUE DE BORDA. Mais elle a été changé de place, elle a été refaite en pierre et se trouve maintenant sur la place Thiers La première statue de la place de la Cathédrale a été fondue par les allemands pour récupérer le bronze !
Hubert Delpont raconte (p.73,74,75) dans "Dax et les Milliès-Lacroix" comment Raphaël Milliès-Lacroix s'est démené pour aller voir à Paris le sculpteur Aubé, pour négocier le prix de l'oeuvre, pour lancer une souscription et pour faire cadrer le voyage du Président Carnot avec l'inauguration de la statue. Lors de l'enlèvement du voile, Milliès-Lacroix peut s'exclamer : "vous avez bien représenté Borda tel que nous nousl'étions toujours figuré…Debout sur la place publique de la ville où il est né, il va désormais servir d'exemple et d'enseignement aux générations qui arrivent".
6 - RESTAURATION DE LA CATHEDRALE
Dans son livre "Dax et les Milliès-Lacroix", Hubert Delpont nomme Raphaël Milliès-Lacroix comme "un anticlérical… bâtisseur d'églises" Des pages 56 à 58, H. Delpont raconte les travaux de "restauration et d'achèvement complet de la cathédrale. (et de l'Eglise Saint Vincent) Au printemps 1894, le gros oeuvre de la cathédrale est achevé… libérée des baraquements qui l'entouraient, le nouvel éldifice domine désormais le coeur de ville… Le portail gothique, joyau de l'architecture médiévale, classé monument historique sera installé à l'intérieur de la cathédrale en 1896.
l'ancienne cathédrale gothique s'est écroulée en la cathédrale en 1880
1636 et 1644. Reconstruite à partir de 1660, la tour la cathédrale en 1908
de bois à droite sert de clocher la cathédrale en 1960
aller vers le cours Galliéni jusqu'au n° 11 c'est l'école Galliéni
7 - CREATION DE L'ECOLE maternelle GALLIÉNI
présentation en cours de construction
prendre le cours Foch jusqu'au balcon de l'Amour
8 - CONSTRUCTION DU CASINO ET DE DAX SALINS THERMAL
présentation en cours de construction
aller ensuite vers le casino et prendre l'allée des Baignots et l'allée du Bois de Boulogne
9 - CREATION DU BOIS DE BOULOGNE
présentation en cours de construction
fin du parcours 1
CIRCUIT 2
Départ à l'embranchement de l'allée des Baignots et le boulevard Carnot.
10 - SECONDE CEINTURE PERI-URBAINE DE LA VILLE - de l'allée des Baignots au boulevard Claude Lorrin en passant par le boulevard de Cuyès
l'allée des Baignots suit les berges de l'Amour depuis le Balcon del'Adour jusqu'au pont de chemin de fer. C'est l'ancien chemin de Baïonne (Bayonne) , un simple chantier transformé en allée. C'est aussi le nom du plus ancien établissement thermal de Dax (dès le XVIII° siècle) qui se trouvait en dehors des remparts. A la suite de la découverte du péloïde (boue) en 1880, le nombre de curistes s'est accru. On voyait ces curistes - vêtus de peignoirs blancs en laine à capuchon dans les rues de Dax. C'étaient "les Baignots". Un tramway à une cabine permettait de transporter les curistes de l'hôtel des Baignots jusqu'aux bains (Dax au fil des rues - centre généalogique des Landes). Aujourd'hui cet établissement, le plus ancien de Dax, a été fermé a été transformé en appartements Les thermes les plus anciens aujourd'huit sont les "LES BAINS SAINT PIERRE" au pied des remparts.
cf : https://dax-a-pied.blog4ever.com/articles/131-les-bains-saint-pierre-autrefois-et-aujourd-hui
Remonter le boulevard Carnot jusqu'à la place Saint Vincent
le boulevard Carnot , nommé en 1935. C'était le président de la République de 1887 à 1894. Il était assassiné à Lyon par l'anarchiste Caserio. Le 24 mai 1891, il est venu inaugurer à Dax la statue de Jean Charles de Borda et poser la première pierre de l'établissement des Thermes Salins construit à l'initiative du maire R. Milliès-Lacroix (Dax au fil des rues - centre généalogique des Landes).
11 - RENOVATION DE L'EGLISE SAINT VINCENT
présentation en cours de construction
prendre le boulevard du Collège, nommé en 1935. En 1912 dans le couvent des Barnabites, près de la place Saint Pierre, occupé par l'institut Notre Dame au XIXème siècle, s'installe un collège de filles. Le boulevard du collège longe l'espace occupé aujourd'hui par le collège Léonce Dussarat depuis la place Saint Vincent jusqu'à l'avenue Paul Doumer
et l'avenue Paul Doumer jusqu'au n° 7 où se trouve le lycée de Borda. Cette avenue a été nommée en 1935; c'est l'ancienne route de Peyrouton
Joseph Athanase Paul Doumer, né le 22 mars 1857 à Aurillac (Cantal) et assassiné le 7 mai 1932 àParis, est un homme d'État français, figure importante de la IIIe République de par son élection, en1931, à la présidence de la République.
12 - C'est sur cet espace que R.Milliès-Lacroix fit construire L'ECOLE PRIMAIRE SUPERIEURE (E.P.S.) qui deviendra le lycée de Borda
aller vers le boulevard de Cuyès (nommée en 1935) -
Lorsque I'imperatrice Eugenie s'arreta en gare de Dax pour inaugurer la ligne de chemin de fer, Julien Bonnecaze, conseiller municipal, lui offrit un bouquet de fleurs cueillies dans la serre de Peyrouton à Cuyès. La fille de celui- ci épousa Ie député Gustave Loustalot auquel un nom de rue fut attribue en 1935. C'est aujourd'hui Ie boulevard de Cuyès. Cuyès, devenu boulevard, était autrefois un immense dépotoir dans lequel poussaient, au milieu des détritus végétaux, de nombreuses citrouilles ,d'ou ce nom qui en est la traduction gasconne ("champ de citrouilles"). (Dax au fil des rues - centre genealogique des Landes)
prendre ensuite l'avenue Francis Planté (nommée en 1935 - ancienne route du Gond, de l'avenue Victor Hugo au passage à niveau du Gond)
Francis Planté est un grand pianiste, né le 2-3-1839 à Orthez, décédé le 19-12-1934 à Saint Avit.
Il était Ie fils de Pédro Planté et de Léonore Lafitte-Labère. Son père, très musicien, sent en son fils Ie goût de la musique et décide, en septembre 1840, de partir pour Paris afin de pouvoir donner à son fils les meilleurs professeurs. Dès I'age de 4 ans, il suit les cours d'une ancienne élève de Liszt, Mme de Saint-Aubert, qui perçoit très vite les dons exceptionnels chez son tout jeune éiève et sait exiger les efforts nécessaires pour les exploiter au mieux. A sept ans, il se produit pour la première fois en public lors d'une loterie de bienfaisance. Son interprétation de la troisième sonate de Beethoven lui vaut I'attention et I'intérêt de tous. En 1849, admis auditeur au conservatoire de musique et de déclamation, il suit les cours d'Antoine Marmontel. Apres deux années de travail, ii obtient Ie premier prix au concours. Dès I'age de 13 ans, iI donne des concerts de musique de chambre et remporte Ie plus vif succès. C'est Ie nouvel enfant prodige. II continue à travailler et à donner des concerts. Désormais, il fait partie du monde musical parisien, fréquente Ie salon de Mme Erard ou il côtoie Nicolas Rubinstein, Gounod, Wagner, se lie d'amitié avec Rossini et Liszt dont il interprète les oeuvres. En 1861, il participe à Londres aux matinées musicales et se produit chez Ie duc de Westminster. Désormais, commence sa longue carrière de virtuose. II joue dans toutes les capitaies d'Europe et en Russie. Partout, il enthousiasme son public. C'est I'idole du moment. Marmontei disait: «II excelle dans I'art de moduler et nuancer Ie son ». C'est Ie pianiste romantique type, interprète idéal de Chopin, Schumann, Mendelssohn, Liszt. Rossini lui écrivait: « Vous possédez ce que I'on ne peut acquérir, I'élégance du sentiment et I'exécution de I'artiste consommé». Ses mains longues et fines possédaient un toucher d'une très grande sensibilité. Il utilisait la pédale en maître, car disait-il, elle donne "le coloris de l'exécution"… (mémoire des Landes - Bernadette Suau)
prendre enfin l'avenue Claude Lorrin (nommée en 1935)
Claude Lorrin est né à Cogny dans le Rhone le 9-11-1813 et décédé à Dax le 25 févier 1888 - Il fut directeur d'entreprise. En faisant des sondages à la recherche de sources thermales, Cl.Lorrin a découvert Ie 22/12/1862 Ie banc de sel gemme qui existait sous la ville de Dax. De simple ouvrier il est devenu directeur de I'exploitation. (mémoire des Landes - Bernadette Suau)
En ayant obtenu la concession, iI commença àI'exploiter puis la cédait àun chimiste anglais qui la revendit ensuite àla Société anonyme des Salines de Dax, dont Victor Claude Lorrin (1843-1913), fils de Claude, en fut Ie directeur. (Dax au fil des rues - cente genealogique des Landes)
Rejoindre le centre ville par l'Avenue Georges Clémenceau